Rien qu’en 2018, près de 6 000 décisions de suspension de chantier ou d’activité ont été prononcées par l’inspection du travail dans le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP). Tout cela, parce que depuis des années, ce type d’activité figure en tête de liste en matière d’accidents du travail. Raison pour laquelle le pouvoir public a renforcé son système de contrôle dans ce domaine.
Pour les petites et moyennes entreprises tunisiennes, il reste difficile d’investir dans des projets de développement en raison du manque de financement. Et pourtant, il existe bel et bien des aides financières, provenant généralement de partenaires étrangers, mais auxquelles elles n’ont parfois pas accès. La responsabilité des intermédiaires financiers est ainsi remise en cause.
L’assurance personnelle des entrepreneurs individuels ne permet pas de couvrir tout ce qui touche de près ou de loin à leur activité professionnelle. Cela, même s’ils exercent exclusivement à domicile. Ils sont donc vulnérables en cas de problèmes. Il existe néanmoins des formules spécifiques pour protéger les auto-entrepreneurs des sinistres et les aider à anticiper différentes éventualités.
Afin de soutenir le marché de l'emploi, le gouvernement a lancé une réforme visant à simplifier la création de micro-entreprise. Les faits remontent à maintenant 10 ans et un constat s’impose aux yeux des observateurs et du public : la micro-entreprise intéresse les Français et les auto-entrepreneurs se sont multipliés. Autre motif de satisfaction : tous les secteurs d’activités sont concernés.
Le réchauffement climatique est une réalité indéniable et presque tous les pays du monde s’en préoccupent désormais. Dans les pays développés, les initiatives se multiplient afin de mener à bien la transition énergétique, puisque les énergies fossiles sont l’un des facteurs majeurs du fameux réchauffement. Ces initiatives donnent naissance à de nouveaux services et même à de nouveaux métiers.
Dans un rapport remis à Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances, l’économiste Philippe Tibi avance plusieurs propositions pour promouvoir les investissements en faveur des entreprises technologiques françaises. Le document recommande la mise en place de fonds d’investissement spécialisés destinés à pallier le manque de financement en faveur de la french tech, et ainsi à favoriser leur introduction en Bourse.
En 10 ans, le régime du micro-entrepreneur a réussi à séduire toutes les générations en France. En effet, le rapport de l’Acoss paru en mi-juillet 2019 a fait état de plus de 1 360 000 micro-entreprises immatriculées en décembre 2018. Et cette catégorie d’entrepreneurs regroupe des travailleurs indépendants, des salariés, des jeunes, et des retraités : plus de 19 % des professionnels ayant opté pour ce statut sont des jeunes de moins de 30 ans, près de 40 % d’entre eux sont des femmes, et environ 12 % sont des séniors (plus de 60 ans).
Le temps est révolu où le secteur entrepreneurial francilien était dominé par les entreprises classiques. Les données récemment publiées par le Crocis sur la période de 2018 ont en effet démontré que les microentreprises ont repris le dessus pour s’imposer massivement dans le système et y faire briller davantage les prestations de services.
Le secteur de la technologie constitue un levier incontournable de la création d’emploi de demain. Les entreprises françaises dans ce secteur peinent pourtant à croître et à se faire une place sur les marchés boursiers. Pour y remédier, les experts préconisent de multiplier les fonds d’investissement en faveur des entreprises numériques.
Pour trouver le financement nécessaire à leur développement, les PME et auto-entrepreneurs se détournent de plus en plus des banques pour s'orienter vers des prêteurs alternatifs, comme le crowdfunding ou le crédit inter-entreprises. Les financeurs privés ont ainsi vu leur volume de financement augmenter de +9 %.
Pour tenir les engagements fixés dans l'Accord de Paris, les entreprises françaises doivent faire partie de la démarche de transformation écologique et, à ce titre, limiter leur impact environnemental. Afin de les accompagner dans leur projet de rénovation énergétique, l’État a mis en place le tiers-financement, un dispositif qui leur permet de faire financer les coûts des travaux par une société tierce.
Dans le cadre de l’application de son programme de restructuration, l’une des banques les plus importantes en Allemagne essuie des pertes colossales au second semestre 2019. Depuis l’annonce dudit plan le 7 juillet dernier, une dizaine de milliers d’employés devraient s’attendre à être congédiés en l’espace de trois ans. Le coût de la refonte est évalué à 7,4 milliards d'euros.
La France devrait profiter de la transformation numérique pour booster le potentiel de l’innovation sur son territoire. Pour ce faire, elle a tout intérêt à passer par une refonte de son modèle qui est qualifié de désuet par certains observateurs. Les innovations mises en place sont supposées servir une société en quête d’information et de connaissance.
Leader Occitanie veut propulser les TPE et PME de sa région au statut d’ETI. C’est du moins ce qu’a fait savoir Maryam Bini, sa vice-présidente qui a récemment rendu publique l’existence d’un programme d’accélération dédié à ces structures entrepreneuriales. Un projet qui devrait être opérationnel d’ici fin novembre, grâce à la collaboration de différents acteurs.
Plusieurs nouvelles entreprises ont vu le jour ces dernières années et la plupart d’entre elles ont été créées par des auto-entrepreneurs. Devant cette hausse remarquable du nombre de créateurs d’entreprise, les fonds disponibles pour assurer leur accompagnement n’arrivent pas à couvrir tous les besoins. Une étude réalisée par la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) a d’ailleurs permis de constater une régression significative de l’accompagnement de nouveaux entrepreneurs entre 2006 et 2014.
Les ETI tricolores anticipent de belles performances cette année malgré un contexte peu conciliant. Pour cette saison, ces entreprises de taille intermédiaires sont en effet nombreuses à tabler sur un chiffre d’affaires encourageant et à prévoir des investissements de grande envergure. C’est ce qui ressort des résultats de l’enquête initiée par DGE et Bpifrance.
Aujourd’hui, toute société qui désire emprunter de l’argent pour couvrir ses besoins de financement peut émettre ses dettes sur une plateforme dédiée à cet effet. Tel est le cas du site Onbrane qui a été révélé par son créateur Arnaud Sales dans une interview accordée aux Echos Executives. Le point sur ce sujet.
Softbank prend à cœur le financement des entreprises high-tech. La preuve, l’enseigne vient d’annoncer le lancement d’un nouveau fonds destiné à soutenir ces dernières dans le développement de leurs activités. Il faut dire qu’en se concentrant dans ce type d’investissement depuis 2016, ce géant japonais à découvert un précieux filon en matière de rendement.
Contrairement à ce que l’on a tendance à croire, l’emprunt obligataire n’est pas l’apanage des grandes entreprises. En effet, les petites structures peuvent également recourir à cette solution pour se financer. D’ailleurs, des start-ups comme Firmfunding existent aujourd’hui pour faciliter l’émission de dette obligataire par les PME et TPI.
Ces derniers mois, la hausse de l’endettement au niveau mondial inquiète quelque peu l’Institut of International Finance. À travers un récent rapport, l’IIF a en effet démontré que de nombreux pays se sont fortement endettés pour accumuler un montant largement supérieur à leur PIB. Une situation qui concerne aussi bien les nations émergentes que les plus développées.