Dans le cadre d’une procédure collective menée à l’encontre d’un agent immobilier, la responsabilité du garant ne peut être mise en cause s’il n’y a pas eu fourniture de crédit. Telle est la décision rendue par les juges dans une affaire récente qui met en cause la responsabilité d’une société financière.
En deux ans d’existence, la plateforme de financement participatif WeShareBonds, spécialisée dans le crowdlending, vient de réaliser sa plus grosse levée de fonds : un million d’euros pour le groupe Compagnie de Construction (CDC). Cette PME se spécialise notamment dans la construction de maisons individuelles et est contractant bâtisseur sur des projets de logements collectifs.
Pas plus tard que le 11 juin 2018, l’Institut Supérieur des Métiers et la MAAF (ISM/MAAF) a dévoilé les résultats de leurs enquêtes concernant la transmission et la création d’entreprises en France. D’après les chiffres proposés par ce service, la balance est plutôt penchée vers le secteur artisanal pour la saison 2017.
Dans l’Hexagone, la majorité des PME et TPE peinent à améliorer leur performance. Encore incapables de s’adapter à la transformation numérique, elles n’arrivent pas à accéder au marché globalisé. Une situation qui ne laisse pas indifférent l’exécutif qui compte bien apporter son aide aux entrepreneurs en faisant adopter la loi Pacte.
Les plateformes telles que Deliveroo ou Uber pourraient bientôt disposer d’une charte sociale couvrant leurs travailleurs. Un amendement au projet de loi « avenir professionnel » proposé par la majorité est en effet discuté en séance plénière à l’Assemblée nationale cette semaine. Ce texte vise à protéger ces entreprises du risque de requalification du contrat de leurs prestataires en contrat de travail.
Lendix vient tout récemment d’inclure Allianz, Idinvest et CIR au sein de sa plateforme. Cette opération contribue à faire de la Fintech française l’un des acteurs les plus influents dans son domaine en Europe. L’arrivée de ces trois nouveaux actionnaires lui permet également d’affirmer sa position dans le secteur du crowdlending en Europe continentale.
La conjoncture économique semble reprendre de la vigueur, après le premier trimestre 2018. Sans surprise, les institutions de crédit ont fait preuve de davantage de souplesse concernant les conditions de prêts destinés aux particuliers. Bien des professionnels espèrent que les prêts pour entreprises puissent aussi bénéficier de cet assouplissement.
Hausse des prix des carburants synonyme de retour de l’inflation, incertitudes sur les marchés financiers sur fond de crise politique en Italie, mesures protectionnistes américaines… Tout cela n’augure rien de bon pour la croissance française qui vient de subir un gros coup de frein au premier trimestre. Et pour ne rien arranger, Bercy prévoit de durcir l’accès des crédits aux entreprises.
Entre une réduction des prestations sociales et une coupe dans les aides publiques aux entreprises, Bercy a finalement choisi la seconde option pour alléger les dépenses publiques. Ainsi, d’ici 2022, les aides aux entreprises seront réduites de 5 milliards d’euros. À cet effet, plusieurs dispositifs vont être supprimés, d’autres transformés et certains allégés.
Faute de trouver un travail, les Français décident de créer leur propre emploi. Les chiffres sont parlants : 590 000 entreprises ont vu le jour en 2017, soit une hausse de 7 % par rapport à l’année précédente. Et 90 000 demandeurs d’emploi ont pu bénéficier de l’aide accordée par Pôle Emploi pour lancer leurs activités, soit près du double qu’en 2016.
Pour une meilleure gestion des coûts et produire de façon plus intelligente, la location de matériel ou de services professionnels se présente comme une solution efficace. Ce type de business ne cesse d’ailleurs de se multiplier. Ce qui n’est pas pour déplaire aux entreprises qui souhaitent optimiser leur rentabilité.
Investir dans les private equity offre de nombreux avantages. Non seulement ces placements procurent des avantages fiscaux notables mais leurs rendements sont un cran au-dessus, en comparaison avec les entreprises cotées. Et pourtant, encore trop peu d’investisseurs le savent. Tentons alors de décortiquer tous les avantages que peuvent apporter ces placements dans les entreprises non cotées.
Trente ans après son arrivée sur le marché français, le microcrédit n’a cessé de progresser. Par exemple en Provence Alpes Côte d’Azur, l’année dernière, 1 051 projets ont pu être financés, un chiffre en hausse de 11 %, l’objectif d’ici à 2020 étant de soutenir 1 500 projets. Malheureusement, l’essor de ce mode de financement se heurte encore à de nombreux obstacles, que l’Adie dénonce aujourd’hui auprès de l’Exécutif.
De nombreuses entreprises qui émettent des titres au porteur et des obligations ne sauraient dire de manière précise qui sont tous ses créanciers. Il existe bien un moyen de les identifier, mais il doit être modernisé pour être plus efficace. En effet, ces informations sont essentielles pour assurer la transparence des données et de certaines opérations financières de la société.
Les crises financières entraînent des conséquences non négligeables sur l’économie mondiale, ne faisant pas distinction entre pays industrialisés et pays en voie de développement. Après la crise de 2008, les observateurs se demandent bien quel scénario pourrait être à l’origine du prochain bouleversement financier. Il y a lieu de se poser la question, maintenant que les taux d’intérêt sont en hausse et que les marchés risquent d’être sous pression.
L’association Adie, spécialiste du microcrédit à destination des créateurs d’entreprise, veut encore augmenter ses plafonds de financement. Pour ceux qui n’ont pas la possibilité de souscrire un crédit conventionnel auprès des banques, l’aide de l’Adie constitue une véritable opportunité. L’association demande alors à pouvoir prêter jusqu’à 12 000 euros aux entrepreneurs et jusqu’à 15 000 euros en outre-mer.