Après discussions, le groupe savoyard MND et le fonds britannique Cheyne sont parvenus à trouver un accord. Ce dernier est censé permettre au spécialiste de l'aménagement des domaines skiables de poursuivre ses activités. En effet, grâce à ce partenariat, il devrait disposer des moyens financiers nécessaires pour faire face à ses difficultés, levant ainsi le risque de liquidité.
La reprise des investissements enregistrée en 2017 auprès des petites et moyennes entreprises n’aura été que passagère. Le ralentissement a repris le dessus en 2018 et devrait continuer dans ce sens pour la saison 2019 si l’on croit les résultats d’une enquête effectuée récemment. Et ce, malgré un contexte favorable au développement.
Au niveau mondial, les entreprises qui traitent à taux négatifs cumulent près de 1 000 milliards de dollars de dettes. La majorité des opérateurs concernés viennent d’Europe. D’ailleurs, la plupart de ces dettes sont en euros. Néanmoins, selon les analystes, le phénomène concerne tous les secteurs et tend depuis peu à progresser à l’échelle internationale.
GoCardless célèbre cette année son huitième anniversaire. Opérationnelle depuis cinq ans, la start-up financière a réussi à se positionner sur de nombreux marchés, et à séduire un grand nombre d’entreprises avec sa solution de prélèvement bancaire automatisée. Pour poursuivre son expansion, la fintech entend élargir ses activités en proposant prochainement un service de préfinancement de facture.
Pour les sociétés de financement marocaines, 2018 a été une saison encourageante. Du moins, en ce qui concerne leurs activités qui ont enregistré une belle performance en affichant une croissance non négligeable. Toutefois, force est de constater que cette progression ne les a pas empêchés de récolter un résultat net quelque peu décevant.
Une récente étude rapporte que le besoin en fonds de roulement des entreprises s’est aggravé l’année dernière. À l’échelle mondiale, il a augmenté de un jour pour s’établir à 70 jours, soit 820 milliards de dollars en valeur. Il s’agit du pire niveau de BFR jamais enregistré depuis 2012.
Rester accessible à l’ensemble des usagers tout en comblant les pertes financières enregistrées suite aux engagements pris pour rehausser le pouvoir d’achat des ménages les plus fragiles. Tel est le défi que se lance actuellement La Banque Postale qui accuse d’énormes pertes financières en cette année 2019. Que prévoit l’enseigne dans les prochains mois ?
Cotée sur Euronext Growth Paris depuis près de 10 ans, la société de biotechnologie française DEINOVE va procéder à l’émission de plusieurs tranches d’obligations convertibles en actions au profit du fonds European Select Growth Opportunities Fund. Ces titres seront émis au prix unitaire de 10 000 euros avec une décote faciale de 6,5 % lors de la conversion en actions. Ce financement va lui permettre de lever 15 millions d’euros sur une période de 24 mois.
À peine six ans après sa création, Nubank peut déjà prétendre au titre de la plus grande banque digitale au monde et revendique la sixième place parmi les plus grandes institutions financières brésiliennes. Et voilà que maintenant, elle s’apprête à développer ses activités à l’international notamment, grâce à une fructueuse levée de fonds.
Parmi les mécanismes qui facilitent le quotidien des start-up de la finance figure la titrisation. Depuis quelques années, cette technique financière connaît un succès fulgurant. Toujours est-il que les entités de titrisation peuvent agir en dehors du monopole bancaire, y compris lorsqu’il s’agit d’octroyer des crédits. Elles peuvent émettre des titres pour financer ces opérations.
Pour le constructeur automobile Renault, 2019 risque d’être une saison quelque peu mouvementée. La sous-performance de ses résultats enregistrée au premier trimestre incite en effet à penser que cette marque française a fait face à une période difficile et devrait continuer dans ce sens pour le reste de l’année notamment en matière de chiffre d’affaires.
Les services proposés par les experts-comptables ne satisfont pas entièrement les TPE/PME. C’est ce que révèle un récent sondage sur les attentes des entreprises vis-à-vis de ce corps de métier. La plupart des TPE/PME souhaitent en effet bénéficier de plus d’aide à la gestion. L’idée d’un outil informatique en temps réel séduit également la majorité.
Lors d’un récent sondage, il fut demandé aux responsables financiers d’entreprises françaises d’attribuer des notes à la qualité de leurs relations avec leurs partenaires bancaires. L’évaluation concernait les différents aspects de leur collaboration avec ces derniers incluant la qualité des conseils financiers, des prestations et l’accompagnement des projets. Les banques s’en sortent avec une moyenne de 6,89 sur 10.
Ces dernières années, le nombre d’entreprises bénéficiant d’un soutien financier permettant de développer leurs activités dans les meilleures conditions affiche une tendance baissière pour se retrouver actuellement à un niveau quelque peu inquiétant. Une situation qui tend à s’accentuer et qui s’explique par l’engouement des Français à créer leur propre structure entrepreneuriale.