Le coût total de possession d’une flotte automobile dépend de plusieurs facteurs, dont la taille du parc, sa composition et la politique de gestion de l’entreprise. Avec l’évolution des pratiques due au Covid-19 et la part croissante des véhicules électriques, les gestionnaires ont besoin de revoir leur stratégie pour garder la maîtrise du TCO.
Les acteurs de la LLD en France dressent un bilan 2020 globalement positif, en dépit d’une baisse des nouvelles immatriculations sous l’effet de l’épidémie de Covid-19. L’activité enregistre notamment un gain en parts de marché par rapport à l’année précédente, sans oublier le succès grandissant des modèles électriques et hybrides.
La jeune pousse parisienne compte déjà plus d’une soixantaine d’entreprises clientes installées dans plusieurs villes de France. Cela fait maintenant plus de deux ans qu’elle leur propose une offre clé en main, qui intéresse aussi bien les employeurs que les salariés pour deux grandes raisons. Il s’agit d’une solution qui est à la fois bonne pour la santé et l’environnement.
Les deux confinements de 2020 et les mesures restrictives liées à la pandémie ont durement frappé tout un pan de l’économie française. L’industrie automobile a particulièrement soufferte de conséquences de la crise, sauf les segments des voitures électriques et la LLD. Les chiffres de décembre démontrent une nouvelle fois la résilience de ces deux branches de l’auto.
En décembre dernier, 64 221 voitures particulières et utilitaires légers ont été financés en location longue durée en France. C’est ce qu’a révélé le SesamLLD (Syndicat des entreprises des services automobiles en LLD et des mobilités) dans son dernier baromètre. Les parts de marché des véhicules immatriculés via cette formule continuent donc de progresser malgré le contexte économique.