La Belgique enregistre une année record dans l’immatriculation des véhicules neufs. Avec 550.000 voitures enregistrées, le royaume connaît ainsi son plus beau chiffre depuis 2011. Mais cette donnée cache une réalité mi-figue mi-raisin. En effet, les particuliers ont moins acheté. La croissance est à mettre sur le compte des véhicules d’entreprises.
Pour les entreprises comme pour les particuliers, la protection de la planète constitue un enjeu majeur. C’est le cas de L’Oréal Suisse, qui cherche à réduire son impact environnemental en agissant sur sa mobilité. Elle vient ainsi de renouveler sa flotte automobile en écartant le diesel et adopte plusieurs mesures écologiques.
Le marché français de l’automobile d’occasion a le vent en poupe. Au total, 5 777 204 ont été immatriculés en 2019, un chiffre qui n’avait plus été atteint depuis 2017. D’une année à l’autre, le taux de progression est de 3,4 %, et grimpe à 3,8 % à nombre identique de jours ouvrables.
En 2019, les Belges ont immatriculé plus de 315 000 véhicules de société. L’usage de ces voitures est notamment motivé par les avantages fiscaux associés. Cependant, les défenseurs de ces moyens de transport tiennent rarement compte de leur impact écologique et de leur coût. D’ailleurs, ils représentent pas moins de deux milliards de manque à gagner pour l’État chaque année.
D’une année à l’autre, le nombre de particuliers employant des salariés pour des services d’aide à domicile recule. Pourtant, la demande pour ce genre de prestations reste soutenue, ce qui profite aux entreprises spécialisées. Du côté des salariés, être employé par une entreprise présente également plus d’avantages.