Le vendredi 19 octobre dernier, un dispositif fiscal incitant les PME industrielles à entamer leur transformation numérique a été voté au niveau de l’Assemblée nationale. Inscrit dans le cadre de l'examen du projet de budget 2019, l'amendement suggère une déduction fiscale au niveau du bénéfice des entreprises investissant dans des équipements numériques.
Le volume des fonds propres des entreprises a connu une croissance notable ces dix dernières années, et plus particulièrement chez les structures de taille intermédiaire. Toutefois, le changement de comportement des ménages en matière de placements financiers a fortement réduit leurs possibilités de financement. En effet, depuis la crise financière de 2008, les Français continuent de délaisser les actions et autres titres d’OPC pour se tourner vers des produits d’épargne plus liquides, comme l’assurance-vie.
Pour différentes raisons, l’entreprise BNP Paribas Asset Management estime que les prêts aux PME sont parfaitement adaptés aux investisseurs ayant besoin d’une source de revenu diversifiée et à long terme. En plus d’être stable, celle-ci serait également prévisible. En effet, opter pour un tel crédit comporterait des avantages non négligeables.
Sur l’ensemble du territoire français, on dénombre près de 70 000 entreprises franchisées. Tout cela pour dire que les entrepreneurs ont un attrait particulier pour la franchise bien que sa création requiert une énorme quantité d’argent. Le fait est que ce concept a la cote auprès des différents établissements prêteurs.
Les PME camerounaises, qui génèrent 35 % du PIB et pourvoient 70 % des emplois du pays, rencontrent régulièrement des problèmes de financement. Les importants impayés et les difficultés d’accès au crédit au Cameroun en sont les principales causes. Le gouvernement a mis en œuvre plusieurs mesures pour y remédier, mais les effets sont longs à se faire sentir.