Après un mois de confinement et les fêtes qui approchent à pas de géant, nombreux sont les analystes à s’impatienter de mesurer l’impact de la réouverture des commerces. Et maintenant que c’est chose faite, ils sont parvenus à conclure que le bilan est plutôt positif pour l’ensemble des professionnels du domaine.
L’emblématique place de Kléber à Strasbourg perd-elle de son lustre ? Plusieurs indices semblent conduire à cette conclusion en ce début d’année. De nombreux commerces baissent les rideaux définitivement, sans se faire remplacer, et les transactions stagnent presque dans tout le centre-ville. Les analystes locaux se veulent malgré tout rassurants.
En Suisse tout comme en France, la fermeture des commerces non essentiels a été déclarée pour limiter la propagation du coronavirus. Du moins, en ce qui concerne Genève pour être plus précis étant donné que les autres cantons en sont exemptés. Une longueur d’avance pour les commerçants de ces derniers qui y voient une aubaine renforçant généreusement leur chiffre d’affaires.
Plombé par la pandémie de Covid-19, l’immobilier d’entreprise a dû s’adapter aux besoins de locataires en quête d’économie et de flexibilité. Les locations de courte à moyenne durée, sur des actifs remodelables et polyvalents, ont donc tiré leur épingle du jeu en 2020, une tendance appelée à durer et évoluer à l’avenir.
Huit mois après la Flandre, la Région Bruxellois décide à son tour de venir en aide aux commerçants locataires mis en difficulté par les contrecoups économiques de l’épidémie. À partir de mi-janvier, ces entreprises commerciales pourront bénéficier d’une aide sous forme de prêt devant régler, du moins en partie, leurs soucis de liquidités.