En Suisse tout comme en France, la fermeture des commerces non essentiels a été déclarée pour limiter la propagation du coronavirus. Du moins, en ce qui concerne Genève pour être plus précis étant donné que les autres cantons en sont exemptés. Une longueur d’avance pour les commerçants de ces derniers qui y voient une aubaine renforçant généreusement leur chiffre d’affaires.
Plombé par la pandémie de Covid-19, l’immobilier d’entreprise a dû s’adapter aux besoins de locataires en quête d’économie et de flexibilité. Les locations de courte à moyenne durée, sur des actifs remodelables et polyvalents, ont donc tiré leur épingle du jeu en 2020, une tendance appelée à durer et évoluer à l’avenir.
Huit mois après la Flandre, la Région Bruxellois décide à son tour de venir en aide aux commerçants locataires mis en difficulté par les contrecoups économiques de l’épidémie. À partir de mi-janvier, ces entreprises commerciales pourront bénéficier d’une aide sous forme de prêt devant régler, du moins en partie, leurs soucis de liquidités.
À l’époque d’avant-crise, force est de constater que les entreprises ont tendance à accorder plus d’importance à l’exportation en matière d’approvisionnement. Ce fut d’ailleurs le cas jusqu’à ce que l’épidémie du coronavirus ne fasse son apparition et changer la donne et permettre à l’achat local de retrouver un peu de ses couleurs.
De la même manière qu’en France et dans tous les autres pays touchés par la pandémie, l’économie de la Belgique souffre des effets des confinements. Les indépendants et les entreprises sont particulièrement exposés. La Région de Bruxelles-Capitale décide ainsi de distribuer de nouvelles aides à ces acteurs économiques, sous forme de prime variable en fonction des pertes subies.
Contrairement au confinement, les tensions entre les locataires et les propriétaires des murs commerciaux en lien avec les loyers impayés se sont quelque peu atténué depuis l’entrée en vigueur du second volet de cette mesure destinée à limiter la propagation du coronavirus. La solution proposée par les pouvoirs publics pour calmer le jeu semble porter ses fruits.
Voilà des années que dans l’Hexagone, Amazon est pointé du doigt comme étant le principal acteur de la chute des activités des libraires et des commerçants de proximité. Mais en tant que conseiller auprès des collectivités locales et délégué de l’Institut des territoires, Franck Gintrand est bien placé pour dire que cet acteur de l’e-commerce n’est pas le seul à blâmer.
Déserté par les commerçants et snobé par les clients, le centre commercial Quais d’Ivry se dirige lentement vers son extinction depuis quelques années. Les deux confinements provoqués par la crise sanitaire n’arrangent guère son cas. Sa restructuration tarde d’ailleurs à se concrétiser, autant d’indices qui assombrissent son avenir à moyen terme.
Dans le cadre de la location meublée touristique, le non-paiement des loyers par un grand groupe risque de rompre la confiance des propriétaires bailleurs et des conseillers en gestion de patrimoine. C’est pourtant ce qui arrive à Pierre et Vacances. Il se fait même actuellement poursuivre en justice pour ce motif.
Évoqué dès le début de la crise sanitaire, le projet de loi suisse visant à soulager les commerçants et artisans en difficulté d’une majorité de leur loyer a été finalement abandonné. Après plusieurs semaines de débat au parlement, la proposition a obtenu un double refus de la part du Conseil national et du Conseil des États.
Dans l’Hexagone, l’essor du commerce en ligne qui s’est fait remarquer ces dernières années ne peut être qu’une excellente nouvelle pour les entreprises spécialisées dans la fabrication de cartons ondulés. Une situation qui n’a d’ailleurs fait que s’améliorer dernièrement selon les professionnels du domaine faisant valoir que toutes les conditions sont désormais réunies pour les avantager au mieux.
Après une année 2019 conclue sur une bonne note, l’immobilier de bureau marque le pas en 2020 sous l’impact de la crise sanitaire. La généralisation du télétravail et une redéfinition de la notion d’espace de travail par les entreprises entraînent un léger ralentissement du marché. Ces nouvelles tendances, appelées à durer, sèment le trouble sur l’avenir à moyen et long terme de ce secteur.
Avec la montée en force du commerce en ligne, nombreux sont les investisseurs à rayer de leur liste les placements dans les murs commerciaux. Un phénomène qui ne fait que se renforcer ces dernières années, mais qui pourrait cependant s’estomper depuis l’entrée en scène de l’épidémie du coronavirus sur le sol français.
Afin de soutenir les entreprises en difficulté pendant le reconfinement, le gouvernement a déployé plusieurs aides financières et fiscales plus ou moins importantes. Le crédit d’impôt sur les loyers commerciaux en fait partie. Le ministre de l’Économie annonce finalement que ce coup de pouce fiscal sera augmenté pour le mois en cours.
Bailleur et locataire ont intérêt à redoubler de vigilance une fois leur contrat de bail commercial arrivé à son terme. Ce, notamment dans l’optique où le propriétaire décide de ne plus mettre en location son bien. Une décision qui risque dans certains cas d’engendrer des problèmes entre les deux parties.
Dans le cadre des mesures de soutien aux commerces pendant le deuxième confinement, le gouvernement annonce l’instauration d’un crédit d’impôt permettant aux bailleurs de récupérer jusqu’à un tiers du loyer commercial. Ce nouveau dispositif reçoit un accueil mitigé auprès des foncières et des propriétaires, qui souhaitent obtenir plus d’engagements de la part des pouvoirs publics.
Réclamé depuis plusieurs semaines par les restaurateurs et les petits commerces, le crédit d’impôt sur les loyers commerciaux figure bel et bien parmi les mesures de soutien aux entreprises pendant ce second confinement. Le ministre de l’Économie donnera bientôt les détails du dispositif ainsi que l’ampleur du coup de pouce fiscal accordé aux propriétaires.
Une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale montre que la crèche est le meilleur mode de garde pour les tout-petits. Or, selon un baromètre de l’économie de la petite enfance, des millions d’enfants âgés de moins de 3 ans ne peuvent y obtenir une place en France. Conscient de ce problème, l’État a lancé un plan d’investissement pour y remédier.
Voilà des années que le géant allemand de la distribution alimentaire s’est fixé pour stratégie de recentrer ses activités sur le commerce de gros. Et aux dernières nouvelles, tout indique que l’enseigne continue d’œuvrer dans ce sens en rangeant sous sa bannière le grossiste portugais Aviludo Group qui l’aidera par la même occasion à renforcer sa position au Portugal.
Voilà quelques années qu’Etixia, la foncière de Kiabi a pris l’initiative de préserver la pérennité des zones commerciales des années 70 à 80. Une œuvre que l’entreprise continue de perpétuer en jetant cette fois son dévolu sur une quinzaine de projets de requalification répartis dans plusieurs endroits en commençant par Metz.