Dans la dernière semaine de février, le ministre de l’Économie et des Finances a annoncé le renforcement de l’aide gouvernementale aux entreprises les plus touchées par la crise. Elle concerne la prise en charge des coûts fixes, y compris les loyers. Cette mesure profite surtout au secteur du tourisme, de l’hôtellerie et de la restauration.
Voilà des années que la Ville de Paris mène une lutte acharnée contre les conséquences néfastes du développement flagrant des plateformes de type Airbnb dominant le système de location des logements. Finalement, ses efforts ont été récompensés si l’on croit la décision récente de la Cour de cassation lui accordant la victoire.
La vente à emporter fait désormais partie intégrante des activités des restaurateurs parisiens. Il s’agit là de l’une des dernières décisions de la Cour d’appel de Paris accordant cette faveur aux professionnels du secteur de l’hôtellerie-restauration (CHR) face à la jurisprudence des baux commerciaux excluant de la filière ce type de service.
Après plusieurs semaines de fermeture administrative liée au reconfinement, les commerçants s’impatientaient de rouvrir leur porte et de reprendre les activités. Mais voilà que le gouvernement a décidé de prolonger ce dispositif dans la durée pour certaines galeries commerciales éprouvant une certaine peine à comprendre le fondement de cette stratégie.
Lors de la récente allocution du Premier ministre Jean Castex, des mesures restrictives supplémentaires ont été prononcées à l’encontre des centres commerciaux non alimentaires. Avec ces nouveaux dispositifs, les deux tiers des galeries et grands magasins se trouvent dans l’obligation de fermer. Cette énième contrainte continue de peser sur leurs finances.