L’état de santé du crowdfunding spécialisé dans le financement des jeux vidéo serait en train de se dégrader ces dernières années. C’est ce qui ressort de l’analyse annuelle de Thomas Bidaux, un consultant spécialisé dans ce domaine en étudiant de près les résultats quelque peu décourageants de Kickstarter et de Fig.
Dans le cadre de la concrétisation de son projet éolien qui devrait s’établir à Porspoder, Epuron ERG Group a lancé en novembre dernier une levée de fonds via la plateforme de crowdfunding Lendosphere. Et il s’avère que cette initiative a été un véritable succès puisque la somme collectée a largement dépassé le montant espéré.
Le prêt de particulier en particulier se présente comme une aide indispensable pour les PME. Cette source de financement ouvre de nouveaux horizons et se développe favorablement dans l’immobilier. Les dizaines de plateformes qui se regroupent dans le secteur ont réalisé de beaux résultats, en 2018, qui ont permis une levée de fonds à hauteur de 170 millions d’euros. Un montant qui devance toutes les précédentes performances.
Le prêt participatif, qui est un mode de financement hors pair, connaît des hauts et des bas dans tous les pays. En Belgique, il se montre sous son meilleur jour. Les résultats des études réalisées par la FSMA témoignent de ce succès. Dans le cadre de cette recherche, deux facteurs élémentaires de ce système ont été relevés.
Les PME, partout dans le monde, font face à une difficulté de financement. La Chine ne fait pas exception. Mais si la finance de l’ombre a bien percé dans tous les pays, il n’a pas tenu longtemps au sein du marché chinois. Le défaut de sécurité endigue grandement le développement de ce système. Et cela n’est pas sans conséquence, surtout sur la conjoncture économique de la nation.