C’Pro passe à une flotte de véhicule « verte »

voiture electrique

Comme l’enjeu est planétaire, la transition énergétique est l’affaire de tous. Animée par cet esprit, tout en veillant à obéir à la nouvelle loi émise par le gouvernement sur l’orientation des mobilités, l’entreprise C’Pro a commencé la transformation de sa flotte. Petit à petit, la société se déleste des voitures thermiques au profit des électriques et des hybrides rechargeables.

Se conformer à la loi et participer à la lutte contre le réchauffement climatique

A travers la nouvelle loi baptisée « LOM », le gouvernement a imposé des mesures que les entreprises devront respecter concernant la composition de leur parc de véhicules.

Important Le texte précise qu’à compter de 2022, lors des opérations de rafraichissement de la flotte automobile, un véhicule particulier sur 10 devra être un modèle électrique ou hybride (émission de CO2 inférieure à 16 grammes par kilomètre). Cette proportion passera à 20 % à partir de 2024, 35 % en 2027 et la moitié de la flotte en 2030.

Consciente que l’urgence climatique est déjà d’actualité, l’entreprise C’Pro prend les devants et commence dès cette année à verdir sa flotte.

Pour information, cette dernière comprend aujourd’hui de plus de 1 500 voitures, dont seulement 10 % appartiennent à l’entreprise. Le reste est mis à sa disposition via un contrat de location longue durée. Cette solution lui permet de minimiser au mieux le coût total de possession (TCO).

Quelques infrastructures déjà en place, mais encore beaucoup d’efforts à fournir

Le passage à l’électrique se prépare chez C’Pro depuis un certain moment déjà.

Selon Lydie Genet, la gestionnaire de parc automobile,

Le déclic est venu de l’acquisition par notre PDG d’une Tesla. Une décision qui l’a amené à installer, dans un premier temps, des bornes de recharge dans 14 de nos agences en Auvergne-Rhône-Alpes.

Lydie Genet.

L’entreprise devra néanmoins fournir un effort financier supplémentaire pour équiper l’ensemble de ses 105 agences en France.

À noter que C’Pro s’estime chanceuse de ne pas avoir trop souffert du confinement. Avec un chiffre d’affaires annuel de plus de 500 millions d’euros, elle a été suffisamment armée pour affronter les deux mois de paralysie.

S’inscrivant dans la même stratégie, le renouvellement de sa flotte et la migration vers les énergies vertes ne devraient pas trop être difficiles.

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