Plus que jamais, la menace que représente le réchauffement climatique est prise très au sérieux par tous les pays du monde. Mais face à ces enjeux, ceux en voie de développement accusent un retard indéniable, faute de moyens. Les pays développés, quant à eux, tentent de trouver les solutions adéquates pour retarder le plus possible les effets néfastes.
Si l’état de la planète s’est dégradé à vive allure, c’est en majeure partie à cause des gaz d’échappement des milliards de voitures en circulation. Maintenant que la cause est identifiée et que la menace se fait plus pressante, les autorités des pays développés tentent d’agir en conséquence.
Ainsi, au début de cette année, l’Union européenne a décrété la réduction en masse du nombre de véhicules à motorisation thermique (essence et diesel) en circulation, et ce, dans les plus brefs délais.
Important L’objectif est désormais de réduire la proportion de voitures à moteur diesel et essence à 25 %, aussi bien en ville qu’en zone rurale. Les 75 % restants se composeront à parts égales de véhicules électriques, hybrides et de véhicules à hydrogène.
Grâce aux avancées technologiques, les voitures du futur ne se contenteront pas d’être respectueuses de l’environnement. Aujourd’hui, de nombreux constructeurs, assistés par des start-ups ou des géants du numérique, travaillent aussi à développer des voitures qui volent ou qui sont entièrement autonomes.
Les voitures autonomes sont encore à leurs balbutiements, mais une fois qu’elles seront parfaitement au point, les possibilités qui s’ouvrent aux automobilistes sont infinies.
Par exemple, dans l’hypothèse où le véhicule de fonction ne nécessite plus l’intervention d’un conducteur, celui-ci peut profiter du trajet pour continuer à travailler. Les concepteurs sont même en train d’envisager une tout autre configuration de l’habitacle, de quoi permettre aux occupants de tenir une conférence. Oubliée la configuration classique des sièges, les ingénieurs souhaitent faire en sorte que les passagers puissent être disposés à la manière d’une table ronde.
La voiture autonome ne sera pas pour tout de suite, et il faudrait encore patienter avant que les véhicules propres n’envahissent massivement nos routes. Il revient donc à tout un chacun d’adopter les conduites adéquates pour réduire ses émissions de carbone.
Dans cette optique, les autorités ont mis en place des campagnes de sensibilisation destinées à inciter les gens à réduire le plus possible leurs déplacements, privilégier les transports en commun, pratiquer le covoiturage ou encore à préférer le vélo ou la trottinette électrique à la voiture.
