Les grandes comme les petites et moyennes entreprises nécessitent inéluctablement des automobiles au sein de l’organisation. Le type de véhicule utilisé est différent selon leurs besoins. Aux dernières nouvelles, les performances tout à fait disparates du marché des flottes font écho au cours de la fin de l’année 2018. Aussi bien les constructeurs que les clients favorisent les voitures électriques aux autres.
Les résultats des ventes présentés par l’Observatoire du véhicule d’entreprise (OVE), trois mois durant, témoignent de la médiocrité du rendement de certains véhicules. Le diesel est remarquablement concerné. Mais à côté, le véhicule utilitaire léger n’a pas fait bon vent non plus.
Au sein des entreprises, l’électrique frappe fort, avec des chiffres hallucinants. Ce n’est pas étonnant lorsque l’on fait le point sur la tendance des grands constructeurs. D’autant que l’avancée de la technologie fait rage à tous les niveaux.
Outre les sociétés, les particuliers participent également à la valorisation du marché par le biais de leur part dans le chiffre d’affaires des concessionnaires. Mais la performance de l’ensemble de la flotte n’est pas pour autant satisfaisante.
Pendant que les autres voitures régressent en termes de vente, l’électrique avance vertigineusement. Au cours du mois de novembre 2018, 2363 nouvelles mises à la route ont été constatées. À savoir que ces dernières correspondant à une performance de + 138,2%.
Avec la grande participation des constructeurs renommés tels que Renault, Mercedes et PSA, la productivité du marché des modèles roulant à l’électricité atteint facilement le résultat, sans égal, escompté.
En effet, Peugeot est concerné par 180 ventes pour son produit Peugeot Ion. Pour la part de Citroën, il est responsable de l’immatriculation de 187 C-Zéro. Tandis que 546 Renault Zoé appartiennent à de nouveaux propriétaires.
Bien que légèrement à la traine, l’hydride affiche tout de même un bilan positif avec une hausse de 37,6% en matière de vente. 2666 véhicules sont, ainsi, départagés entre les particuliers et les entreprises. Les hybrides non rechargeables ne sont pas en reste. Ceux-ci attestent beaucoup plus de performance avec une augmentation de 60,8%.
Les trois derniers mois n’ont pas été un bonheur pour le secteur automobile. Le véhicule particulier (VP) comme la voiture de société présente une baisse.
Pour le cas du VP, les ventes enregistrées ont diminué de 6,7%. À savoir que cette branche a été la plus en retard parmi toutes les activités. Le véhicule utilitaire léger (VUL) a certes présenté une amélioration, mais s’est contenté d’un taux de progression de 0,9% pour 30 078 modèles.
Le plus flagrant concerne le diesel qui a enregistré une baisse significative de -13,8%. Ce dernier n’a fait que 53 496 mises en circulation pour les deux segments (VP et VUL).
Contrairement à ce cas de figure, l’essence est privilégiée aussi bien par les particuliers que les professionnels. De ce fait, une croissance respective de 30,4% et de 62,7% ont été relevés. En somme, ce mode de motorisation a atteint 12 641 ventes.
Malgré ces résultats au top, la totalité des flottes est victime d’une baisse de 4,4%, tous les segments compris.
