Les activités d’Emova Group sont florissantes depuis le confinement

jardinière souriante

Le confinement est marqué par un ralentissement, voire une cessation, des activités dans de nombreux secteurs économiques. Le fait de rester cloîtré chez eux a pourtant incité les citoyens à essayer d’égayer leurs domiciles. D’où une recrudescence des achats des ornements, dont les fleurs. Une période particulièrement juteuse pour les professionnels évoluant dans le milieu.

Les plantes et les fleurs sont des éléments ornementaux qui symbolisent une attention lorsqu’elles sont offertes. Mais, leurs usages ne se limitent pas à cela. Récemment, de plus en plus de personnes, en majorité des jeunes femmes, s’en procurent pour leur plaisir personnel.

Cette tendance a été constatée durant le confinement. Emova Group, une société tentaculaire ayant pignon sur rue dans le domaine des bouquets et végétaux d’intérieur, a su tirer profit de ce regain d’intérêt pour booster son chiffre d’affaires. En effet, il n’y a pas que les végétaux qu’elle vend qui est florissant.

Emova Group prouve sa capacité de résilience

Pendant environ un quinquennat, s’étendant de 2012 à début 2017, la société Emova Group a connu des moments difficiles, marqués par une procédure de sauvegarde . Une période où elle a dû avoir recours à un crédit professionnel pour se remettre à flot. Une époque qui n’est à présent qu’un mauvais souvenir. Le groupe a pu enregistrer dernièrement une grosse augmentation de son chiffre d’affaires durant la période 2020-2021, qui est marquée par le confinement. Une croissance de 23 % par rapport à la période précédente.

Ce succès s’explique en partie par une large gamme de produits proposée par les diverses entités du groupe. Pour tous les prix, ils ciblent un large éventail de clientèle. À titre d’exemple, « Au Nom de la Rose », propose des produits haut de gamme, alors que les « Happy » sont beaucoup plus abordables. Pour s’assurer d’attirer la sympathie de la clientèle, le groupe s’implique dans l’anti gaspillage, en s’associant avec divers partenaires, dont :

  • Vépluche pour le recyclage de ses déchets organiques ;
  • Too Good To Go pour écouler ses invendus.

En l’espace de quelques années, Emova Group passe du statut d’entreprise en difficulté à société prospère.

Une société qui est en pleine croissance

Emova Group a veillé à diversifier ses activités pour prévenir et répondre aux attentes des consommateurs. Un partenariat fructueux avec Uber Eats, mise en place depuis février dernier, garantit le dépôt des produits à l’adresse convenu avec le client. Dans des efforts d’adaptation à l’ère du numérique, le groupe s’est lancé dans le e-commerce. Ce dernier représente dorénavant, pas moins de 10 % de ses activités.

Aussi, Emova Group est maintenant un acteur économique en pleine expansion. Outre ses succursales disséminées dans diverses villes, le groupe collabore avec de nombreux établissements en franchise. Au cours de cette année, il a acquis un peu plus d’une quinzaine de ces derniers. À présent, la société mère compte environ cinquante succursales. Ses magasins sont au nombre de 346. De quoi lui permettre de créer et de tester des concepts avant de les proposer aux franchisés, comme le déclare le président du directoire du groupe.

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