La loi de finances 2018 et le développement des entreprises

 Groupe de salariés

Un rapport sur le projet de loi de finances pour 2018 se consacre longuement au sujet du développement des entreprises. Il montre que la croissance d’une enseigne est profondément rattachée à la qualité de l’écosystème dans lequel celle-ci progresse. Parmi les facteurs menant à ce résultat, on distingue l’accès au crédit, la disponibilité de la main-d’œuvre, etc.

En général, les décisions prises par les chefs d’entreprise ont un impact sur la pérennité de leurs activités. Celle-ci dépend également de leur attirance plus ou moins importante pour le numérique, l’innovation ou encore les nouvelles technologies. En France, l’écosystème des affaires présente des faiblesses, d’après le rapport établi dans le cadre du projet de loi de finances 2018.

Parmi elles, on retrouve des charges administratives trop lourdes, une faible souplesse du marché du travail, etc.

Afin de faciliter le développement d’une entreprise, il serait préférable d’améliorer les compétences du leader de la société. Il faut savoir que celles-ci touchent particulièrement la gestion financière.

Le rapport sur le projet de loi de finances

En Hexagone, la qualité de l’écosystème des affaires est pleinement liée au développement des entreprises, selon le rapport économique, social et financier. L’environnement présente de nombreux points faibles.

Une diminution des charges administratives ainsi qu’une croissance externe et interne sont alors recommandées. Par ailleurs, dans la liste des facteurs à ne pas négliger figurent la qualification de la main-d’œuvre, les conditions d’accès à l’international, etc.

En ce qui concerne l’accès au crédit, les entreprises françaises bénéficient plutôt de bonnes conditions de financement. En outre, le rapport met en évidence le fait que les compétences du dirigeant doivent être améliorées pour favoriser la croissance d’une enseigne et optimiser sa durabilité. La fonction de l’expert-comptable est alors de nouveau affirmée.

En dehors des entreprises individuelles, la situation financière des 17% des très petites entreprises diminue progressivement. Ces dernières cumulent un déficit en fonds propres et une trésorerie fragile. Pour y remédier, les dirigeants de société doivent être mieux sensibilisés aux problématiques de gestion et de financement.

En outre, le rapport souligne également le problème des seuils règlementaires, fiscaux et sociaux. La charge administrative des entreprises constitue généralement un obstacle au développement des activités économiques.

Les moyens de favoriser la croissance des entreprises

Pour faciliter le développement des entreprises, il est important que la main-d’œuvre réponde bien à leurs exigences. À l’heure actuelle, les petites enseignes rencontrent pourtant de grandes difficultés de recrutement.

Ces dernières sont rattachées à des problèmes financiers, à une absence de service dédié, etc. À la fin du rapport sur le projet de loi de finances 2018, il est mentionné que l’accès à l’international est un débouché indispensable pour les petites et moyennes entreprises. Les marchés étrangers sont une occasion favorable.

Ainsi, les entreprises ne doivent pas être ralenties par des défaillances de marché, dans leur conquête de l’international. Par ailleurs, il faut savoir que de nombreuses initiatives les accompagnent déjà dans cette démarche.

Afin d’améliorer leur efficacité, il faut cependant miser sur leur simplification ainsi que sur une meilleure communication.

Notons que les entrepreneurs peuvent prétendre à des crédits professionnels afin de combler un besoin de trésorerie, d’acquérir des bureaux, etc.

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