Une fintech française se développe à Johannesburg

entreprises Johannesburg

La technologie financière est un système permettant d’utiliser la technologie au profit de la politique financière d’un environnement donné. Si elle perce efficacement le secteur financier dans les pays développés, elle est délaissée par les autres nations en retard. Et, l’Afrique du Sud a la chance d’être choisie par une Startup française comme étant le berceau de cette innovation.

FinChatBot, une jeune pousse fondée par deux Français a instauré une fintech au centre de l’Afrique du Sud afin de venir en aide aux entreprises en quête de nouveaux clients. Les robots de Chat dont les fondateurs mettent en place consistent à passer au travers des obstacles financiers dont les chefs d’entreprise ont du mal à surmonter.

Au début, encouragée par Silicon Cape, cette petite entreprise commence à porter ses fruits dans le territoire sud-africain. La stratégie dont elle applique est appréciée par les clients potentiels de par son aptitude à réduire considérablement les coûts rattachés à l’acquisition des clients.

Aujourd’hui, FinChatBot cherche à ouvrir des horizons dans les autres marchés en difficulté de l’Afrique.

La structure économique sud-africaine intéresse les entrepreneurs

Antoine Paillusseau et son partenaire expérimentent la fintech en Afrique du Sud quitte à abandonner la France. Si l’activité est florissante à Johannesburg, c’est que le taux de conversion des prospects en clients a été extrêmement faible pour la plupart des entreprises. Les dirigeants qui se sont lancés dans le ChatBot ont senti l’écart dans le chiffre d’affaires.

D’ailleurs, Clive Butkow, le fondateur de Kalon confirme l’efficacité de ce procédé :

Le processus d'acquisition client coûte beaucoup d'argent, et FinChatBot en supprime les frictions, en permettant de souscrire à une offre en seulement trois minutes

Clive Butkow.

Les porteurs de projet n’étant pas endigués par la rudesse des chemins à parcourir ont pu monter une équipe de juniors efficaces afin d’exploiter l’écosystème Tech du pays.

À savoir que la Startup a commencé au Cap avant d’attaquer la capitale pour la proximité. En effet, presque toutes leurs cibles sont localisées à Johannesburg. Néanmoins, le revers de la médaille est que la collecte de fonds y est encore quelque peu handicapée par le manque de capitaux.

Néanmoins, ceux qui sont à la tête de FinChatBot ne sont pas découragés pour autant. Au contraire, ils souhaitent élargir leur champ d’intervention. D’ici à la fin de l’année, ils comptent départager l’organisation entre les autres pays, notamment africains.

FinChatBot à la rescousse

Les institutions financières constituent la principale cible de cette jeune pousse. Son intervention permet à celles-ci de réduire les fonds alloués à l’acquisition de clients. Et ce, peu importe le financement entreprise adopté.

Ces deux Français, forts de leur expertise, sont en mesure de procurer des ChatBot optimisés et personnalisés à la place d’une procédure généralisée. Ces outils mettant en valeur l’intelligence artificielle sont installés sur les sites des clients.

De même, les réseaux sociaux figurent parmi les plateformes où ces robots agissent. En perspective, What-s App sera le nouveau point de rencontre des prospects et des institutions financières.

À l’heure actuelle, ces experts enrichissent toujours leur produit. Antoine Paillusseau annonce :

Nous sommes par ailleurs capables d'optimiser le ton de la conversation en fonction de critères tels que l'âge, la géolocalisation ou le genre de la personne.

Antoine Paillusseau.

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