Actuellement, créer une entreprise est un véritable jeu d’enfant. Il suffit effectivement de déposer son dossier auprès des CFE, afin d’obtenir rapidement un numéro d’immatriculation. Le financement de la structure risque néanmoins de donner du fil à retordre au porteur de projet. Il a alors tout intérêt à se faire accompagner par un professionnel du domaine.
Désormais, la création d’entreprise ne relève plus d’un parcours de combattant. Pour les porteurs de projet, les démarches se résument à déposer leur dossier auprès des CFE (Centres de formalités des entreprises). Ces centres de traitement sont d’ailleurs reconnus pour leur disponibilité dans le traitement des dossiers.
Ainsi, l’immatriculation de l’entreprise n’est plus sujette à une lourdeur administrative.
Toutefois, le plus dur reste à faire pour ceux qui n’ont pas encore des idées bien définies quant au financement de l’entreprise. Dans la mesure du possible, mieux vaut entreprendre cette démarche avec l’aide d’un spécialiste de la finance.
Elle présente effectivement un certain degré de complexité, surtout au niveau de l’élaboration d’une stratégie financière, du plan de financement, ou encore du compte de résultat prévisionnel.
La mise en place des CFE, ainsi que les services en ligne ont simplifié les formalités de création d’entreprise, de manière significative. Les centres en question désignent les lieux, où l’on dépose la demande d’immatriculation, de modification ou de cessation d'activité.
Ainsi, dès que l’entreprise est immatriculée, le CFE attribue le Siren (numéro unique d'identification) qui révèle son utilité dans les démarches administratives, ou tout simplement pour étendre son réseau de partenaires. L’Insee octroie quant à lui un ou plusieurs numéros Siret, ainsi qu’un code d'activité APE (Activité principale exercée).
Dès la phase initiale de la création, mieux vaut s’assurer qu’on dispose assez de capitaux pour constituer une trésorerie saine. On peut y voir plus clair en dressant un tableau de trésorerie illustrant les entrées et les sorties d’argent.
Le recours aux services des spécialistes est ici envisageable, afin de mieux dégager les techniques et sources de financement possibles.
En se tournant vers le prêt professionnel, le porteur de projet évite par exemple d’écumer toutes ses économies. Il se constitue ainsi un minimum de sécurité.
La recherche de financement passe également par l’établissement d’une stratégie financière. Il s’agit là du meilleur moyen de mettre la lumière sur les dépenses (une liste exhaustive), afin de dresser le plan de financementet le compte de résultat prévisionnel.
Cette démarche permet également de déterminer les capitaux nécessaires au cycle d'exploitation. Ensuite, on établit le compte de résultat pour avoir une idée sur la rentabilité de l'entreprise. En dernière étape, on calcule le seuil de rentabilité. Le futur entrepreneur peut ainsi prévoir le moment, où les gains commencent à entrer.
