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Une étude est menée sur les effets du financement des programmes d’appui à la création d’entreprise. Étant donné que l’entrepreneuriat est une des branches la plus sollicitée des diplomates pour la lutte contre le chômage, le programme d’appui à la création d’entreprise remet en question le montant des dépenses publiques.
Le GEM (Global Entrepreneurship Monitor) a pu enquêter sur l’activité entrepreneuriale et démontre que le financement des programmes d’appui pour la création de société n’a aucune influence sur le taux d’entrepreneuriat d’un pays.
Pourtant, cette subvention aide à accroître le taux d’entrepreneuriat par nécessité. Cependant, les chômeurs bénéficient une sorte de protection, entre autres, les indemnités de chômage qui incite pourtant au recul devant le besoin d’entreprendre.
Par ailleurs, les dépenses publiques destinées aux financements des programmes d’appui à la création d’entreprise n’arrivent pas à diminuer le taux de chômage, du fait qu’elles sont inefficaces par rapport aux objectifs de réduction de chômage des sociétés.
Il existe deux types de motivation pour entreprendre selon le GEM : l’entrepreneuriat d’opportunité et l’entrepreneuriat par nécessité. L
es hommes n’ayant pas de stabilité professionnelle pour survivre sont motivés à créer des entreprises par nécessité, alors que l’entrepreneuriat d’opportunité promet une continuité d’activités pour les hommes d’affaires. Ici, l’on s’interroge sur les facteurs qui déterminent le taux de l’entrepreneuriat.
Le montant des investissements et l’amplitude des échanges commerciaux entre pays sont les éléments clés en matière d’entrepreneuriat. Mais pour réduire le taux de chômage, inciter les sans-emploi à créer du travail est également une solution plus prometteuse.
Suite à une étude, la croissance économique d’un pays, mesurée par le PIB, détermine le taux d’entrepreneuriat dans un pays. Toutefois, la motivation d’entreprendre dépend tout de même de chaque chômeur, en créant une entreprise par nécessité ou par opportunité.
En termes de financement entreprise, l’aide à la création d’entreprise peut renforcer la lutte contre le chômage, mais les dépenses publiques versées pour celle-ci n’arrivent pas à couvrir la totalité de tous les programmes (à raison de -14% pour les 25 pays de l’OCDE).
Par ailleurs, les allocations attribuées aux chômeurs ne les motivent pas assez pour entreprendre. Ainsi, le taux de réussite des programmes d’appui en faveur de la création de société est en nette régression.
Or, plus le niveau de protection alloué aux chômeurs s’élève, plus le taux d’entrepreneuriat ne serait pas boosté. Pour lutter contre le chômage, l’État détient un rôle majeur dans l’incitation des sans-emploi à créer une entreprise en optant pour le type d’entrepreneuriat d’opportunité, mais aussi d’élargir l’échelle sur le commerce international du pays. C'est-à-dire qu’il faut relancer économiquement les programmes d’appui pour garantir le succès futur des entreprises nouvellement créées.