La FNAIM souligne l’importance du locatif privé pour la mobilité professionnelle

Local d'un bâtiment

Pour la FNAIM, enrichir le parc locatif privé est essentiel pour la mobilité professionnelle. C’est la raison pour laquelle la Fédération soutient le bail mobilité et les investisseurs privés dans le logement locatif. Selon une étude IFOP réalisée pour son compte, 950 000 logements, résidences particulières ou investissements locatifs privés, ont été vendus entre fin juin 2017 et fin juin 2018.

Logement locatif et mobilité professionnelle vont de pair

Selon la FNAIM, le secteur du locatif privé doit être encouragé compte tenu de son importance pour les travailleurs mobiles et les bailleurs dans ce domaine être reconnus d’utilité publique.

En effet :

  • d’une part, ils fournissent un logement à des millions de personnes ;
  • d’autre part, en tant qu’entrepreneurs, ils contribuent au développement de l’économie du pays.

Or, les pouvoirs publics semblent négliger cette participation.

Important La Fédération renforce ses efforts dans le but de permettre aux bailleurs privés d’avoir un statut social et professionnel spécifiquement conçu pour eux.

La FNAIM apporte son soutien au bail mobilité et aux acteurs dont les activités sont centrées sur le logement, la mobilité et l’emploi, comme les start-ups KeeSeek, Cherche mon Nid, Garantme, Kadran, MeilleureCopro et Permettez-moi de construire.

Ces jeunes pousses ont été présentées à l’occasion de la signature de la Charte FNAIM Lab, dont elles font désormais partie.

Le marché du logement reste dynamique en France

En une année, 950 000 logements, toutes catégories confondues, ont été vendus en France. La FNAIM a rappelé que : « le nombre de transactions a atteint son plafond ». Cependant, le marché demeure dynamique, selon les résultats de l’étude IFOP commandée par la Fédération.

53 % des sondés pensent que le secteur va très bien et 83 % déclarent qu’il est nettement plus stable.

Important Les Français sont encore nombreux à estimer que le contexte reste favorable à l’investissement, locatif ou résidentiel, malgré la hausse plus ou moins marquée des prix.

« La politique du logement doit cependant être revue », explique la FNAIM. Les personnes non assujetties à l’IFI, mais qui investissent dans le locatif, incluant ceux qui souhaitent proposer le bail commercial, doivent avoir la possibilité de profiter d’exonérations fiscales. L’offre foncière doit être élargie avec de nouveaux espaces à urbaniser, alors que les primo-accédants devraient pouvoir bénéficier des avantages de la loi Pinel.

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