Différentes options s’offrent aux entreprises québécoises pour les aider à optimiser leurs besoins en fonds de roulement

une femme d'affaire devant un paysage québecois

Pour une entreprise, qu’importe sa taille, faire face aux besoins en fonds de roulement est un défi majeur notamment lorsqu’elle sa croissance est au mieux de sa forme. Le secteur entrepreneurial canadien n’échappe pas à cette règle que pour les aider, Banque HSBC Canada a décidé de leur donner un coup de main.

Différentes options s’offrent aux entreprises québécoises pour les aider à optimiser leurs besoins en fonds de roulement. C’est du moins, ce qu’ont fait comprendre Jean Caillé et Maria Spezio respectivement vice-président Services aux entreprises -Région de Montréal et directrice régionale des ventes au Service mondial de gestion des liquidités et de la trésorerie — Régions de Québec et de l’Atlantique auprès de Banque HSBC Canada.

Ces experts financiers estiment en effet que pour y faire face, ces dernières se doivent de s’équiper des meilleurs outils notamment lorsqu’elles se lancent à la conquête des marchés internationaux, le levier idéal pour garantir leur croissance.

Le besoin en fonds de roulement comme défi majeur à relever

Aux yeux des experts financiers de chez Banque HSBC Canada, le BFR (besoin en fonds de roulement) est un défi majeur pour tous les entrepreneurs désireux de développer leurs activités. C’est du moins ce qu’a fait comprendre Jean Caillé en faisant valoir que :

« L’enjeu principal lorsqu’une entreprise connaît une forte croissance, c’est de maximiser le fonds de roulement ».

Jean Caillé.

Cet expert estime en effet que dans une optique d’accroissement, une société est contrainte de répondre à de nouvelles commandes d’envergure non négligeable qu’il y a de fortes chances qu’elle éprouve certaines peines à disposer des liquidités nécessaires pour les honorer.

Ce responsable a même tenu à préciser que la situation est d’autant plus difficile lorsque les opérations concernent les marchés internationaux. Tout cela, parce que l’enseigne aura à faire face à d’autres éléments lestant ses capacités financières. Entre autres :

  • Les frais de transfert internationaux qui s’élèvent en fonction du volume des commandes ;
  • Les fluctuations des taux des devises (à la hausse comme à la baisse) qui peuvent impacter la rentabilité ;
  • La gestion des comptes qui se complique.

Des issues de secours auprès de Banque HSBC Canada

Consciente de cet enjeu majeur, Banque HSBC Canada a décidé de tendre la main aux entrepreneurs en s’adressant spécialement à ceux qui cherchent à se frayer un chemin en dehors du territoire canadien. Et ce, dans l’objectif de les aider à répondre à leurs besoins en fonds de roulement dans les meilleures conditions. Au vice-président Services aux entreprises -Région de Montréal de préciser :

« Nous proposons plutôt des outils qui se tournent vers l’avenir, avec un financement basé sur les commandes ».

Jean Caillé.

Et d’ajouter que :

« Comme HSBC est présente dans plus de 60 pays, nos outils reflètent les meilleures pratiques d’affaires de partout dans le monde ».

Jean Caillé.

Dans ce sens, la banque propose par exemple une solution de « Décaissement international » pour réduire les frais de transfert ou encore des « Contrats de change à terme » pour servir de protection contre les fluctuations des taux. Quant aux difficultés liées à la gestion des comptes, Maria Spezio a tout simplement expliqué que :

« La plateforme virtuelle HSBCnet vient réunir l’accès à tous les comptes bancaires au même endroit. L’entreprise peut gérer son fonds de roulement et effectuer des paiements dans chaque pays, tout ça à partir de son siège social au Québec ».

Maria Spezio.

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