Factofrance vient de lancer une nouvelle offre d’accompagnement à l’intention des clients grands comptes qui désirent se développer dans le pays de l’oncle Sam. Elle a été conçue pour s’adapter au contexte juridique et financier spécifique aux États-Unis qui rend difficile l’obtention d’un financement pour les BFR. Or, le marché américain représente la première cible internationale des sociétés françaises.
Important La nouvelle offre de Factofrance est destinée aux clients grands comptes et multinationales, qui présentent un chiffre d’affaires supérieur à 50 millions de dollars.
Pour les encaissements, ce spécialiste de l’affacturage a choisi de collaborer avec Wells Fargo, une banque locale avec laquelle il entretient une relation commerciale de confiance depuis plusieurs années.
Les bénéficiaires souscrivent par ailleurs à un contrat en continuité avec celui qui couvre leurs activités en France et en Europe. Factofrance se charge de mettre en place une offre conforme au cadre financier et aux particularités juridiques des États-Unis.
De même, il souscrit à une assurance-crédit, déchargeant l’entreprise cliente des risques financiers liés aux dettes à recouvrir. La gestion des contrats est confiée à une équipe au sein de Factofrance à Paris.
Outre cette solution pour couvrir les BFR, le factor finance aussi les finances à l’export par le biais de sa filiale Cofacrédit. Rapellons que Factofrance est actif depuis 50 ans, et propose ses solutions aux structures de toutes tailles. Les encours des factures payées en 2017 par l’organisme s’élèvent à 34 milliards d’euros.
Les États-Unis représentent un cadre de développement intéressant, générant 16 % du chiffre d’affaires des entreprises françaises qui s’étendent à l’international. Les investisseurs qui y réalisent des placements directs optent souvent pour les rachats ou la création de nouvelles sociétés.
De nombreuses entreprises implantées à l’international sont actuellement à la recherche de fonds. Selon Pierre Salzman, l’un des premiers responsables au sein de Factofrance,
c’est particulièrement le cas aux États-Unis où le factoring n’est pas une pratique courante.
Pierre Salzman.
De plus, les conditions de financement y sont également plus contraignantes.
