L’avancement des PME vers leur développement s’effectue progressivement. Les constats de l’année dernière montrent des résultats positifs pour ces établissements. Les entrepreneurs doivent profiter de l’atmosphère dynamique de ce secteur. Des approches stratégiques et méthodiques sont mises à l’évidence pour une meilleure croissance de son entreprise. Des plans d’action qui seront appuyés par différents acteurs comme le gouvernement.
Les résultats enregistrés en 2017 montrent une forte progression concernant le développement des PME. Des statistiques optimales que ce soient concernant les nouvelles créations ou encore par rapport au développement des entreprises existantes.
Ce développement n’en est pas à son paroxysme. L’environnement économique est favorable à la création de ces derniers. De nombreux acteurs et facteurs contribuent à cette hausse historique depuis l’année dernière.
Entre autres, le pouvoir public favorise cet avancement par le biais de son représentant BPI, ne serait-ce que pour ces offres de financement.
Dans l’optique de maintenir ce dynamisme, les spécialistes avancent les bonnes pratiques pour les entrepreneurs qui envisagent de développer leur commerce. En résumé, les administrateurs sont incités à profiter des opportunités présentes dans le secteur.
Les PME rencontrent une croissance excédentaire de leur commerce l’année dernière comparée aux chiffres ressortis durant les périodes précédentes.
Important Une étude de StatExpert et de certains experts-comptables montre une progression de CA de 2,3% contre 0,8% en 2015 et 1,1% en 2016. Concernant les investissements, l’indicateur affiche une hausse de 1,9%.
La croissance du PIB de 2% accompagnée d’une meilleure image de ces entreprises favorise l’attrait à leur création en France. Effectivement, 550 000 établissements ont été créés l’année dernière.
Les enquêtes de l’INSEE annoncent un environnement propice pour leur croissance. Les entrepreneurs sont, de ce fait, invités à profiter de ce dynamisme pour le développement rapide de leur enseigne.
Dans ce sens, 5 actions sont priorisées :
Le principal objectif d’un entrepreneur sera de déterminer les besoins de sa société. Ainsi, il est préconisé de recourir à des investissements immatériels pour le développement. Cela regroupe les actions commerciales, la transformation digitale, le recrutement et l’augmentation du besoin en fonds de roulement (BFR).
Les investissements matériels comme les formations, la mise aux normes ou le brevetage s’ajoutent à ces démarches.
Dans ce sens, l’administrateur sera amené à recourir à des moyens spécifiques faute de financement de la part des banques.
Un obstacle facilement contournable pour les entrepreneurs en capacité de s’autofinancer ou de se servir dans un capital personnel disponible. Outre ces conjonctures, la solution est de profiter des levées de fonds equity auprès de fonds ou en crowdfunding.
En outre, le besoin en financement des PME peut être comblé par le crowdlending étant donné sa flexibilité, sa rapidité et sa complémentarité avec les autres alternatives. Il est possible de combiner le financement foule/professionnels en garantissant le succès des opérations grâce à la présence de fonds de crédit.
Le gouvernement est inclus parmi les acteurs principaux de cette croissance, grâce aux offres de financements de la BPI comme les fonds de private equity ou les financements directs ou en garantie.
Les statistiques pour l’année précédente annoncent une somme de 14,4 milliards d’euros pour les financements directs et un montant de 8,9 milliards d’euros de prêt garantie pour 80 000 sociétés.
