Pour répondre aux besoins de financement des TPE et des PME, Finexkap vous propose une solution pour mobiliser vos créances entièrement en ligne, s’appuyant sur un algorithme performant d’analyse et d’évaluation des risques. Depuis sa création, la jeune pousse collectionne les récompenses, affiche une croissance mensuelle de 20 % et multiplie les partenariats stratégiques.
Vous ne le savez que trop bien : le manque de fonds de roulement nuit à la compétitivité des entreprises. Et si vous y ajoutez les retards de paiement, vous savez ce qui provoque 25 % des faillites d’entreprise.
Important Les difficultés de trésorerie entraînent la disparition d’une société toutes les 33 minutes.
C’est pour tenter de réduire ce fléau qu’Arthur de Catheu et Cédric Teissier lancent en 2012 la start-up Finexkap. Ils mettront près de 3 ans à développer un algorithme leur permettant d’analyser le risque qu’ils prennent à fournir une avance de trésorerie à des TPE et PME, en échange de factures en attente de paiement.
Après une levée de fonds de 18 millions d’euros en 2014, Finexkap dépasse son 100e client fin 2015 et est élue meilleure plateforme européenne de financement alternatif aux Altfi Awards. En octobre 2016, son offre d’affacturage entièrement dématérialisée atteint 50 millions d’euros de financement et continue de collectionner les récompenses, dont celle du JP Morgan Award qui la nomme « meilleure start-up fintech ».
Pour augmenter sa puissance et sa souplesse, Finexkap multiplie les partenariats stratégiques. Son accord avec l’Ordre des Experts Comptables vous permet ainsi de monter des dossiers de cession de factures entièrement en ligne.
Le lancement de Sage Clic & Cash, avec le leader des solutions de comptabilité, va dans le même sens : réduire les démarches de financement de trésorerie en vous aidant à trouver simplement et rapidement des liquidités.
Tout en développant un nouvel algorithme plus performant, Finexkap se tourne vers l’Europe, forte de ses 4000 clients et de plus de 60 millions d’euros de factures financées. Avec 20 % de croissance mensuelle, la jeune pousse espère bien réduire les 600 milliards d’euros de crédit interentreprises.
