Après trois années de vache maigre, l’immobilier commercial français retrouve son dynamisme. Les investissements dans les murs commerciaux ont augmenté de +14 % sur les trois premiers trimestres 2019, pour ressortir à 2,6 milliards d’euros. Ce retour des investisseurs s’explique en grande partie par le rebond du taux de rendement et la perspective d’une reprise du secteur.
Succès commercial indéniable pour de nombreux commerçants en ligne ou traditionnels, le Black Friday, concept commercial importé des États-Unis, a fait de nombreuses émules auprès des activistes, mais aussi des députés et des ministres, qui y voient une simple promotion de la surconsommation à travers des pratiques commerciales à la limite de la légalité.
Dans l’ensemble, le vote en faveur du Brexit impacte négativement le secteur immobilier britannique. Toutefois, force est de constater que cette situation s’acharne principalement sur un secteur en particulier, la gestion d’actifs commerciaux. Et aux dernières nouvelles elle aurait même fait une nouvelle victime en mettant dans une position délicate le fonds M&G.
Pour la Ville de Montréal, la problématique des locaux vacants sur ses artères commerciales est un sujet épineux qu’elle prévoit de supprimer de son champ de vision dès début 2020. Et ce, à travers des solutions efficientes qu’elle puisera auprès d’une consultation publique organisée par la Commission sur le développement économique et urbain et l’habitation.
Pour financer le futur réseau de métro autour de Paris, les députés avaient voté l’application d’une surtaxe de 20 % aux entreprises disposant de bureaux et locaux professionnels dans les quartiers d’affaires de Paris et des Hauts-de-Seine. Jugée abusive, cette surtaxe est sur le point d’être supprimée par les sénateurs.