Le 26 février prochain se tiendra la 21ème édition du concours i-Lab concocté par le ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
Celui qui permettra aux chercheurs d’avoir une meilleure chance pour la création de leur propre entreprise en mettant en avant des projets de technologies innovantes.
Depuis 1999, le concours i-Lab a permis à de nombreux projets de création d’entreprises de voir le jour. Et pour cette année encore, il va offrir une nouvelle opportunité aux futurs entrepreneurs de la Deep tech, grâce à son 21ème volet qui se tiendra le 26 de ce mois de février.
Ainsi, les chercheurs publics ou privés qui ont eu le bon sens de candidater avant cette date pourront profiter d’un accompagnement financier auprès de l’État. Ils obtiendront également l’appui d’acteurs majeurs dans le domaine.
Mais avant, ils se doivent de convaincre le jury en misant essentiellement sur des projets répondant aux principaux défis sociétaux déterminés par l’agenda stratégique France Europe 2020.
Le concours i-LAb est certes, ouvert à tous les chercheurs, mais pour s’en sortir, il faudra parvenir à obtenir la bonne grâce du jury. Pour cela, il n’y a rien de mieux que de se plier aux exigences de l’agenda stratégique France Europe 2020.
En effet, pour cette 21ème édition, les candidats devront orienter leur dessein vers les principaux défis sociétaux définis par ce plan s’ils veulent mettre toutes les chances de leur côté. Entre autres :
Ainsi, les projets de technologies innovantes sont à l’honneur. Et pour ne rien laisser au hasard, le profil parfait du prétendant doit également correspondre aux valeurs qui tiennent à cœur à la France comme :
En deux décennies d’existence, le concours i-Lab a permis à différentes sociétés et startup de voir le jour, grâce à des aides non négligeables. Le Ministère en charge de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation figure parmi les principaux leviers en tenant un rôle majeur en matière de financement d’entreprise.
Depuis 1999 et jusqu’ici, il a en effet consacré 430 millions d’euros pour les lauréats de cette phase de sélection. Soit, des montants pouvant aller jusqu’à 600 000 euros par projet sélectionné.
Aussi, il faut préciser qu’accéder à ce système décuple la visibilité de la future structure auprès de :
S’ajoutant à cela, l’accompagnement du ministère ainsi que d’acteurs majeurs comme BpiFrance dans toutes les démarches permettant d’atteindre la réussite entrepreneuriale. D’ailleurs, les gagnants auront le privilège d’avoir un industriel de renom ou un startupper à succès ou autres opérateurs économiques de renom comme parrain.
L’objectif de ce dernier étant de les soutenir et de les guider dans la levée de fonds, le lancement de la société, la mise sur le marché du produit ainsi que tous les caps décisifs liés à l’activité.