En 2020, SOLUTIONS 30 a fait preuve d’une résilience certaine face à la crise

entreprise besoin de trésorerie

À l’instar des autres structures entrepreneuriales, SOLUTIONS 30 était amené à relever de nombreux défis en 2020 principalement engendré par la crise sanitaire. Et aux dernières nouvelles, tout indique que par rapport aux autres, l’entreprise a fait preuve d’une certaine résilience notamment, grâce aux stratégies qu’elle a adoptées pour faire face à l’adversité.

Face à la montée en force de la pandémie, le Syndicat professionnel des acteurs du numérique (Syntec Numérique) avait prévu qu’en 2020, le recul de l’activité serait au rendez-vous pour les acteurs du domaine qui devaient enregistrer une baisse d’au moins 4,6%. Ce, en précisant que les acteurs du conseil en technologies en seraient particulièrement touchés en affichant une chute de 12,3%.

Une situation qui n’est évidemment pas pour arranger les choses pour les professionnels concernés qui devaient tout faire pour éviter le pire avec la baisse de revenus ou les pertes d’emploi qui en découlent.

SOLUTIONS 30 est l’un de ceux à adopter différentes stratégies pour se protéger en se fixant pour objectif de relever les nombreux défis imposés par cette période difficile marquée par l’épidémie.

De nombreux défis à relever

En tant que leader européen des services multi techniques de déploiement et maintenance d’équipements numériques, SOLUTIONS 30 est certes concerné par les prévisions peu encourageantes de Syntec Numérique.

Tout cela pour dire que le groupe n’était pas à l’abri des risques que les contextes difficiles liés à la pandémie pouvaient engendrer. À l’instar des autres structures, l’enseigne était aussi contrainte de relever les défis imposés par la crise sanitaire en notant que pour sa part, elle devait :

  • Fournir des efforts sur le BFR ;
  • Assurer la continuité des services ;
  • Adopter des modes opératoires visant à protéger la santé de ses employés.

À cela s’ajoute le recul de 32% de son bénéfice net à fin juin 2020 suite à la hausse des amortissements et aux pertes de change zloty polonais porté par la pandémie et ses conséquences.

Et en tant qu’entreprise, le groupe se devait également de s’assurer une croissance rentable et à deux chiffres de revenus en veillant principalement sur le développement des affaires nouvelles et sur ses principaux clients de la filière télécom et énergie à la source d’une partie de ses chiffres d’affaires (45%).

Différentes stratégies adoptées

Face à ces défis, ce spécialiste du numérique a adopté différentes stratégies. En ce sens, l’entreprise fait partie de celles à miser sur l’affacturage pour soutenir sa trésorerie en accélérant sa cadence dans la génération d’autofinancement libre.

Et en parlant de ressources financières, il faut également préciser que le groupe comptait principalement sur ses activités de maintenance qui devaient lui garantir la majorité de ses revenus, à hauteur de 63%. Son objectif étant d’atteindre le milliard d’euros de chiffre d’affaires, grâce à ses principaux atouts :

  • La taille critique sur chaque marché géographique ;
  • La qualité des ressources humaines ;
  • La mutualisation des expertises.

Et la liste est longue, mais il faut préciser que le groupe s’est aussi lancé dans stratégies environnementales et d’innovation. Soit, autant de dispositifs lui permettant de faire preuve d’une résilience certaine face à cette situation inédite liée à l’épidémie selon les observateurs mettant en exergue ses principaux indicateurs de performance enregistrée à fin juin, alors que la crise était au plus haut de sa forme :

  • Des capitaux propres de 149 milliards d’euros ;
  • Une dette nette de 27 milliards d’euros (trésorerie nette de dette de 46 milliards d’euros hors impact IFRS 16) ;
  • Une trésorerie de 152 milliards d’euros ;
  • • Une croissance de 14% du chiffre d’affaires.
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